• 1977

    •  Galerie Bellechasse  |  Paris - France

  • 1984

    •  Institut Français d'Amérique latine  |  Mexico - Mexique

    ...Chacun de nous voit la nature de façon différente mais rares sont ceux qui s'attardent à la regarder plus en profondeur et découvrent ainsi des détails organiques d'une grande bea...

    Marta Palau, Artiste peintre mexicaine

  • 1985

    •  L'Octave  |  Pau - France

  • 1987

    •  Galerie Jean Boghici  |  Rio de Janeiro - Brésil
    •  Espace Culturel Sudameris  |  São Paulo - Brésil
    •  Galerie Ralph Camargo  |  Rio de Janeiro - Brésil

    Cira a sûrement suivi de près l'agonie du tableau de chevalet et la salutaire confusion entre sculpture et peinture. Mais c'est ici sur la plage de Raza (Buzios) que lui est venue l'idée de faire de la peinture avec une forme d'anticorps de la propre peinture, obtenue non point par dilution ou trituration de la couleur mais par récupération de la matière picturale patinée, érodée par le temps, la mer et le soleil.

    Jean Boghici, Galeriste, marchand d'art, Rio de Janeiro

  • 1988

    •  Galerie Montesanti  |  São Paulo - Brésil
    •  Praia Rasa  |  Buzios (RJ) - Brésil
    •  Pousada nas Rocas  |  Buzios (RJ) - Brésil
    •  Espaço Cultural Marruelle  |  Buzios (RJ) - Brésil
    •  Pousada Le Relais  |  Buzios (RJ) - Brésil

    Cette exposition se singularise par la présentation d'un artiste dont l'avant-gardisme, aussi original dans le domaine de la sculpture que de la peinture, traduit, en cette fin de siècle, l'exubérance des possibilités d'une lecture inédite de l'œuvre d'art.

    P.M. Bardi, Directeur du Musée d'Art Moderne de São Paulo

  • 1989

    •  Maison de la Culture Laura Alvim  |  Rio de Janeiro - Brésil
    •  Galerie Inter Art  |  Paris - France

    André Cira transforme en métal précieux chaque matériau, chaque objet qu'il rencontre et touche de ses mains. Chacune de ses œuvres, innovante, harmonieuse, dense, est une démonstration de sa compréhension de l'objet, de son aptitude à découvrir, de l'acuité de son regard, de son savoir-faire... Cira nous révèle un artiste qui a incontestablement atteint la pleine maturité d'une expression originale...

    Camille Masrour, Galeriste brésilien

  • 1991

    •  Galerie Sur  |  Punta del Este - Uruguay
    •  Galerie Bruzzone  |  Montevideo - Uruguay

    André Cira construit des formes qui, pour certaines, tiennent du minimalisme, un minimalisme « sui generis », pour d'autres, proposent une relecture du cubisme, sur un registre post-moderniste. Il n'en faut point pour autant l'inclure dans l'« Art Povera » car sa proposition ne consiste pas à opposer des matériaux de rebut au monde resplendissant et ascétique de la technologie mais au contraire véhicule un message de forte charge positive...

    Maria-Luisa Torrens, Historienne de l'art uruguayenne

  • 1992

    •  Musée Municipal Juan M. Blanes  |  Montevideo - Uruguay

    Le temps est le facteur commun à l'ensemble des toiles. Il laisse ses traces, ses stries, ses blessures sur la surface picturale comme sur la peau humaine qui va se dégradant de manière irréversible.

    Nelson di Maggio, Critique d'art uruguayen

  • 1993

    •  Galerie La Hune Brenner  |  Paris - France

    Comme les restes d'un naufrage, ses toiles laissent flotter des fragments de bourrasques qui se diluent dans l'apaisante accalmie de célébrer de nouveau l'existence.

    Nelson di Maggio, Critique d'art uruguayen

  • 1994

    •  Galerie Gaymu Inter Art  |  Paris - France

    Cosmique, épique ? Dans ses plus récentes manifestations l'œuvre d'André Cira m'évoque l'univers admirable des portulans : éléments figuratifs ou à la limite de la figuration, tous évocateurs des mondes à la fois proches et lointains

    Yves Berger, Écrivain et éditeur

  • 1996

    •  Galerie Française  |  Munich - Allemagne

    Les déchirures qui balafrent de nombreuses compositions récentes, le raffinement de la matière avec ses effets de transparence, le vibrato des infimes parcelles colorées font le charme d'une peinture qui ordonne sans perdre en spontanéité et rachète le sacrifice de la forme par les qualités d'une couleur et d'une pâte qui créent un lyrisme d'ensemble saisissant.

    Annette Gautherie Kampa, Historienne d'art

  • 1998

    •  Galerie Schmitt-Zulauf  |  Mannheim - Allemagne

    Regardez: sur des grands aplats de couleurs, il introduit, superpose des tâches, des griffes, des griffures, des virgules, des coulées, des ronds, des cercles et, maître-es-forme, fait danser le tout.

    Yves Berger, Écrivain et éditeur

  • 2000

    •  Galerie André Henry  |  Pau - France

    S'il aime utiliser les matériaux de rebut, ce n'est jamais dans un but de dérision à l'inverse de Dada. Ce que la mer a brassé dans ses ondes et recraché, ce que le temps a poli, caressé ou malmené fascine l'artiste pour sa teneur poétique.

    Annette Gautherie Kampa, Historienne de l'art

  • 2002

    •  Galerie Française  |  Munich - Allemagne

    L'art d'André Cira n'est ni figuratif représentatif, mais il relève d'un processus de visualisation de sa sensibilité profonde à l'art et à la réalité.

    Annette Gautherie Kampa, Historienne de l'art

  • 2006

    •  Galerie Française  |  Munich - Allemagne

    Cira s'est attaché à faire vibrer encore plus la matière, tout en tentant de se rapprocher du cœur de la création et de rendre sensible l'âme du temps. À l'image des marques que les années impriment sur le visage des hommes, reflets de leurs émotions, expériences, joies et souffrances, toutes choses qui définissent l'individu, le facteur temps laisse traces et cicatrices sur une surface d'une grande subtilité, enrichie par la sensibilité et l'émotion de l'artiste.

    Annette Gautherie-Kampka, Docteur en histoire de l'art

  • 2008

    •  Galerie Française  |  Munich - Allemagne

    Je suis impressionné par la force, la vigueur et la volonté de ce peintre qui, non seulement impose un monde, mais encore impose au monde. À cet égard, sa façon d'imposer (encore) la couleur par des superpositions de couleurs, des introductions de couleurs, des enchevêtrements et mariages de couleurs, ne peut que frapper, qui tendrait à montrer que, dans le monde des choses, il n'y a pas de couleur originelle.

    Yves Berger, Écrivain et éditeur

  • 2013

    •  Maison des Vignerons  |  Lacommande - France

    Cliquez sur l'image pour zoomer

    Sud‐Ouest, 9 octobre 2013

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